Publicité

Article

Ivre, nu ou en bikini sur Facebook? 53% des recruteurs français n’apprécieront pas

Ivre, nu ou en bikini sur Facebook? 53% des recruteurs français n’apprécieront pas
Aurore Peignois

Aurore Peignois

  • Mise à jour:

Dans une étude publiée en juillet dernier, on apprend que les trois quarts des directeurs des ressources humaines français consultent les profils sur les réseaux sociaux des postulants. Et ce n’est pas toujours à l’avantage du candidat.

Le cabinet Robert Half a publié une étude l’été dernier qui révèle que les DRH sont plutôt friands des réseaux sociaux pour évaluer les candidats. Le réseau le plus utilisé serait Facebook, scruté par 76% des employeurs, contre 53% pour Twitter et seulement 48% pour LinkedIn, note le blog du modérateur.

Pour autant, ils sont peu nombreux à recruter via ce canal (seuls 15,5% l’ont fait via Facebook ou Linkedin).

« Les informations ou photographies provocantes ou inappropriées » sont la première source de renoncement à un candidat préalablement sélectionné : 53 % des recruteurs disent n’avoir pas embauché une personne pour cette raison. La deuxième touche à l’alcoolisation ou l’utilisation de drogues. Derrière ces deux principales causes, 35 % des employeurs potentiels ont renoncé à un candidat parce qu’il disait du mal de ses précédents patrons, collègues et clients », note le site Internet Les Numériques.

Au final, 69% des recruteurs ont déclaré avoir déjà rejeté un candidat suite aux traces laissées sur les réseaux sociaux, note le blog. Par contre, seuls 18% estime que les réseaux sociaux leur ont finalement donné une bonne appréciation de la personne et l’ont donc engagée.

C’est l’heure de sécuriser votre profil avant de postuler !

A lire aussi:

Suivre l’auteure sur Twitter : @zariaurore

Aurore Peignois

Aurore Peignois

Nouveautés de Aurore Peignois

Directives éditoriales